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Courants pédagogiques (1 sur 3)

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Question

Les trois périodes retenues pour présenter l'histoire de la pédagogie sont : la Tradition, la Modernité et la Post-Modernité

Réponse

Bonne réponse

La Tradition comprend le Moyen-Âge et l'Antiquité. La Modernité débute avec la Renaissance et dure jusqu'au milieu du 20ème siècle. La Post-Modernité comprend la période actuelle (voir diapo 3).

Réponse

Mauvaise réponse

La Tradition comprend le Moyen-Âge et l'Antiquité. La Modernité débute avec la Renaissance et dure jusqu'au milieu du 20ème siècle. La Post-Modernité comprend la période actuelle (voir diapo 3).

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Question

La Modernité est une période de l'histoire sans changements et calme

Réponse

Bonne réponse

La Modernité se caractérise par des changements majeurs dans tous les domaines (religieux, politiques, sociaux, techniques...). Cette période connaît de nombreuses crises et conflits (voir diapo 5).

Réponse

Mauvaise réponse

La Modernité se caractérise par des changements majeurs dans tous les domaines (religieux, politiques, sociaux, techniques...). Cette période connaît de nombreuses crises et conflits (voir diapo 5).

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Question

Socrate, Platon et Voltaire sont les grands philosophes grecs qui ont influencé la pensée occidentale et la pédagogie.

Réponse

Bonne réponse

Si Socrate et Platon sont bien des philosophes grecs de premier rang (voir diapo 7), Voltaire est un philosophe français du siècle des Lumières (18ème siècle).

Réponse

Mauvaise réponse

Si Socrate et Platon sont bien des philosophes grecs de premier rang (voir diapo 7), Voltaire est un philosophe français du siècle des Lumières (18ème siècle).

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Question

Saint-Augustin est un théologien chrétien important au Moyen-Age.

Réponse

Bonne réponse

Saint-Augustin est un des penseurs qui ont permis au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain.

Réponse

Mauvaise réponse

Saint-Augustin est un des penseurs qui ont permis au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain.

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Courants pédagogiques (2 sur 3)

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Courants pédagogiques  (1 sur 3).

Pédagogie et Tradition

Diapo 2

1. Résumé

Les trois modules sur les  grands courants pédagogiques constituent un ensemble qui aborde la pédagogie à partir d’un fil conducteur historique, suivant 3 périodes: La Tradition (de l’Antiquité au Moyen-Âge, La Modernité (de la Renaissance aux années 1970), La Post-Modernité (depuis 1970 jusqu’à maintenant).

Durant l’antiquité sont posées les bases de l’école en Occident; au cours du Moyen-Âge, l’Église catholique domine l’ensemble de la  société et le monde de la pédagogie.

2. Plan

Détaillé sur la diapositive, le plan se déroule de la diapo 3 jusqu’à la diapo 8. Les numéros entre parenthèses correspondent aux numéros des diapositives.

3. Conseil

Pour profiter au mieux du module, vous pouvez regarder la diapositive, écouter le commentaire audio et lire le commentaire écrit. Pour cela, cliquer sur l’icône comme indiqué dans la partie « texte » à gauche de la diapositive.

 

Diapo 3

Introduction des 3 modules « Courants pédagogiques » : une logique historique

1. Les trois modules sur les courants pédagogiques constituent un ensemble qui aborde la pédagogie à partir d’un fil conducteur historique. Car il faut dire que la pédagogie est vieille comme le monde. Chaque génération ayant eu à transmettre des pratiques, des valeurs, des règles et des usages pour vivre ensemble, des savoirs techniques aussi. Certaines questions restent les mêmes mais se posent dans des contextes culturels et sociaux qui changent. C’est le cas de la question de l’autorité ou encore celle des savoirs à maîtriser pour être autonome dans son environnement : aujourd’hui, au fameux « lire, écrire, compter », il faudrait ajouter les pratiques des outils numériques ou encore le permis de conduire. Certaines choses s’apprennent au fil du temps, dans l’environnement familial ou au gré des expériences personnelles, d’autres s’apprennent à l’école, d’autres encore par d’autres moyens (là encore on retrouve le numérique).

2. Ces modules  ne sont pas directement nécessaires au pédagogue dans son activité ordinaire avec l’apprenant. Leur intérêt principal est de donner à chacun une culture sur la notion de pédagogie. Ces éléments historiques permettent de donner un peu de hauteur à la pratique pédagogique au quotidien. Et ils indiquent que tout pédagogue d’aujourd’hui met ses pas dans ceux des pédagogues, nombreux, qui l’ont précédé, qui ont tâtonné eux aussi, qui étaient pris dans leur époque.

3. Nous formulons d’abord une remarque : nous ne reprenons pas ici le découpage académique des historiens pour lesquels l’histoire comprends 4 périodes : l’Antiquité, le Moyen-Âge, l’époque moderne, puis l’époque contemporaine qui dure jusqu’à maintenant. Ce découpage est rappelé sur la frise verte.

4. Nous optons pour un découpage ayant pour fil conducteur le changement, les transformations de la société, transformations qui concernent aussi la pédagogie et le rapport aux connaissances. Ce découpage est indiqué en bleu, au bas de la diapositive.

  • La Tradition, de l’Antiquité à la fin du Moyen Âge : module Courants pédagogiques 1 : le monde est stable, ce qui n’empêche pas les crises.
  • La Modernité, de la Renaissance au milieu du 20ème siècle : module Courants pédagogiques 2. Le monde connaît des évolutions majeures dans plusieurs domaines.
  • La Post-Modernité : la fin du 20ème siècle et la période actuelle : module Courants pédagogiques 3. Le monde connaît une accélération rapide des évolutions.

Avant de présenter les courants pédagogiques dans le détail, il importe de présenter de manière synthétique ces trois grandes périodes, en indiquant que ce survol, rapide, ne concerne que l’Europe occidentale, dite judéo-chrétienne. Les autres grandes aires culturelles ayant leurs propres repères historiques, religieux ou culturels.

Diapo 4

La période de la Tradition

1. La société est presque immobile : la manière dont s’organisent les hommes pour vivre change pas ou peu d’une génération à l’autre et l’apprentissage « sur le tas » domine. Il y a peu d’innovations scientifiques ou techniques et les personnes sont attachées à leur territoire ou à leur origine sociale qui leur assigne une place dans la société.

2. On peut distinguer deux grandes périodes : l’Antiquité avec les mondes grec et romain, considérés comme le berceau classique de la civilisation occidentale, du 8 ème siècle avant notre ère à 476 (soit la fin de l’empire romain d’Occident et la chute de Rome) ;

3. le Moyen-Âge, marqué par une société structurée et organisée par la religion chrétienne. Cette période se termine en 1453 avec la chute de l’empire romain d’Orient devant l’expansion musulmane. Certains donnent la date de 1492 avec la découverte des Amériques par Christophe Colomb. Le texte sacré de la Bible sert de boussole à la société, propose un récit sur l’origine de la vie et ce qui arrive après la mort, et délivre un message que décrit plus d’un tympan d’église, telle St Pierre de Moissac : il faut craindre Dieu pour éviter l’enfer après la mort et mériter son salut éternel par une vie exemplaire sur Terre !

Diapo 5

La période de la modernité (1453- années 1970)

1. Cette période est marquée par des ruptures avec la période précédente et des changements durables. Le monde bouge, se transforme. La genèse de la Modernité a lieu avec la Renaissance (= naître à nouveau) : on retrouve, au contact du monde musulman (présent de 711 à 1492 en Espagne) les textes, oubliés, des penseurs grecs qui proposaient une conception du monde distincte de celle de l’Église chrétienne.

2. L’hégémonie de l’Église dans la société est doublement contestée. De l’extérieur et de l’intérieur.

  •  De l’extérieur de l’Église. Le mouvement de l’Humanisme met au centre des préoccupations non pas la religion mais l’humain : La Divine Comédie, de Dante, est écrite en Italien et met en scène le poète Virgile qui n’est pas chrétien. Les humanistes visent un savoir désintéressé plutôt qu’un savoir utilitariste, un savoir ouvert sur la vie et curieux de la nature plutôt qu’un savoir censuré par l’Église dès qu’il questionne les textes sacrés… Tout cela ne concerne pas le peuple mais l’élite, c’est-à-dire la noblesse et la bourgeoisie. Et annonce le siècle des Lumières et l’avènement d’une pensée laïque, avec, en France, Montesquieu, Voltaire, Rousseau ou encore Diderot. René Descartes écrit « Je pense donc je suis », dans le Discours de la méthode (1637) et propose une compréhension du monde à partir de l’observation rationnelle de la nature : c’est le départ de l’essor des sciences et techniques, qui vont révolutionner l’Occident.
  • De l’intérieur de l’Église elle-même, certains appelés « protestants » contestent la lecture et l’interprétation des textes sacrés : Luther (1483-1546) en Allemagne et Calvin (1509-1564) en France et en Suisse en sont deux figures majeures : c’est un schisme, c’est-à-dire une rupture avec les catholiques qui restent fidèles au pape.

En France notamment, malgré la contre-réforme de l’Église catholique, l’idée de la laïcité finira par s’imposer avec la loi de séparation des Églises et de l’État en 1905.

3. Le monde se transforme : la Révolution française pour sa part, qui rédige en 1789 la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Puis la Révolution industrielle qui,  s’appuyant sur des progrès scientifiques et techniques, de la machine à vapeur à l’électricité et à la chimie, bouleverse les économies et les peuples. Lesquels sont pris, si l’on accepte ce raccourci, dans les tensions entre le libéralisme d’Adam Smith et les analyses de Karl Marx qui veut la révolution du prolétariat. Après deux guerres mondiales meurtrières, la fin du 20ème siècle (1950-1980) connaît, au moins en Europe, une période plus calme et plus prospère, avec les Trente Glorieuses.

Cette période de la Modernité voit l’avènement des démocraties modernes et l’émergence de droits individuels : la raison plus que les croyances, s’efforce de gouverner le monde. Pas sans soubresauts réguliers, plus ou moins violents. Et l’école, longtemps réservée à une minorité, devient obligatoire avec les Lois Ferry de la fin du 19 ème siècle: c’est l’instruction pour tous.

Diapo 6

La période de la post-modernité

1. Cette période, la plus récente, qui court de la fin du 20ème siècle au début du 21ème siècle, est celle de transformations accélérées : tout va plus vite, les points de repères bougent, voire s’effacent : la famille, l’école, le monde de l’entreprise, la place de la religion, autant d’institutions dont les fondements classiques sont mis en cause…. L’arrivée du numérique et désormais de l’intelligence artificielle bouleverse l’époque.

2. Le monde est moins lisible, plus incertain et donc moins prévisible, avec des crises qui se succèdent : écologie, société, sanitaire…. Et cela impacte la jeunesse, l’école et au-delà, la pédagogie… qui devient d’autant plus importante qu’apprendre est de plus en plus nécessaire pour s’adapter.

Diapo 7

La pédagogie à la période de la Tradition.  L’Antiquité

Visiter l’héritage gréco-romain classique du point de vue de la pédagogie permet de mesurer combien des méthodes pédagogiques encore actuelles ont des racines très anciennes, qu’avec le phénomène des modes, on semble redécouvrir régulièrement.

1. À partir de l’Illiade, œuvre du poète grec Homère (8ème siècle avant J.-C.), on peut se faire une idée  de l’éducation et de la pédagogie à cette époque lointaine. Pédagogie qui concerne surtout, d’après ces sources, les hommes, les femmes étant maintenues dans l’espace domestique. Le courage du guerrier, le sens de l’honneur étaient portés au premier plan. Le père, modèle de l’autorité, dirigeait la famille. Et l’émulation, la compétition étaient des pratiques pédagogiques pour que chacun se surpasse. L’éducation des citoyens concernait autant le corps que l’esprit. Et la direction des affaires de la Cité exigeait des hommes vertueux, soucieux de l’intérêt général et détenteurs d’une morale qui devait être exemplaire.

2. Vers le 4 ème siècle avant notre ère (avant J.C.) à côté des mythes fondateurs, la pensée rationnelle et la réflexion personnelle occupent une place croissante. L’art de bien s’exprimer, de bien raisonner prend de plus en plus d’importance, avec les sophistes, qui enseignaient la rhétorique.  Les mathématiques se construisent, de même que les savoirs pratiques et techniques, qui sont transmis. La profession d’éducateur et de pédagogue, pour les citoyens les plus aisés, émerge.

3. Quelques grandes figures, dont certaines sont universellement connues, apportent  une forme de contribution à la pédagogie antique.

  • Socrate (470-399 av. J.C.). Il lutte contre l’utilitarisme des sophistes dont il juge le raisonnement parfois superficiel ou inexact. Socrate donne la priorité à la recherche de la vérité.  Il est nécessaire de se connaître soi-même, estime-t-il. Le rôle du maître, par le questionnement guidé, est d’aider l’élève à s’exprimer et comprendre : c’est la méthode maïeutique où le maître fait en quelque sorte accoucher la vérité par l’élève.
  • Platon (427-353 av. J.C.). C’est un disciple de Socrate et également son biographe dans les Dialogues. Platon propose une théorie de la connaissance qui divise le monde connu en deux : le monte intelligible et le monde sensible. Platon insiste sur la justification de toute pensée du monde intelligible, c’est-à-dire du monde de la raison. On lui doit l’allégorie de la Caverne. Sur le plan pédagogique, il est, pourrions-nous dire, très moderne: réfléchir, apprendre, demande à l’élève un effort personnel dont il est responsable ; le maître est un guide, un médiateur : nous reprenons cette idée à notre compte quand nous basons notre théorie pédagogique sur trois registres de médiations entre le pédagogue et l’apprenant.
  • Aristote (385-322 av. J.C.). Contre une pensée magique, il définit la logique dite formelle. À partir de l’étude de propositions simples et de leur enchainement déductif (avec les connecteurs et, ou, parce que, donc), il établit les règles du raisonnement correct, indépendamment de son contenu. Sur un autre plan, il se prononce en faveur d’une éducation publique du bien commun.
  • Isocrate (436-338 av. J.C.) est un humaniste. Il formalise l’idée de pédagogie qui doit être, d’après lui, théorique et pratique. Nous le suivons bien volontiers dans cette idée dans notre conception actuelle de la pédagogie. D’ailleurs, il défend la place d’une culture générale pour tous et pas seulement pour une élite, annonçant la démocratisation à venir du savoir.

On peut dire, même si cela est un peu un raccourci facile, que les grecs ont inventé l’école: compter, lire, écrire; la progression raisonnée des apprentissages; l’organisation par classes et les techniques pédagogiques de base… Toujours en simplifiant, on peut dire  que les Romains empruntent aux Grecs de nombreux éléments de leur culture. Parmi les pédagogues romains, on peut citer Quintillien (30 – 95 ap. J.C.). Il est l’auteur d’un des premiers traités de pédagogie qui présente l’émulation compétitive, le contrôle réciproque entre les apprenants, la prise en compte des rythmes d’apprentissages qui varient d’un apprenant à l’autre, la progressivité raisonnée et un « classique » qui a traversé les époques pour résoudre un problème: qui-quoi-quand-où-combien-comment.

Diapo 8

La pédagogie à la période de la Tradition. Le Moyen-Âge

1. L’empire romain  tombe en 476 devant les invasions barbares (c’est à dire des peuples non romains). L’Église chrétienne est la seule institution capable de s’organiser, de structurer le territoire (évêchés, paroisses). Elle dispose de ses propres écoles, dont elle a besoin pour former le clergé d’une religion « savante », basée sur un texte sacré : la Bible.

2. En plus du clergé, l’Église instruit  les nobles et la haute-bourgeoisie (soit approximativement 10% de la population). Le pouvoir politique et temporel est allié au pouvoir spirituel et religieux de l’Église.

3. On peut mettre l’accent sur deux personnages célèbres de cette époque.

  • Saint Jérôme (327-420) exprime l’avis que les apprentissages doivent être basés sur la censure, sur le conditionnement, avec un système de récompenses et de punition chez les élèves : c’est une pratique pédagogique, réputée traditionnelle, qui va durablement s’imposer.
  • Saint Augustin (354-430) révise l’apport de la culture gréco-romaine : il veut la subordonner aux exigences de la religion chrétienne et déclare : « Crois et tu comprendras ; la foi précède, l’intelligence suit ». Espérer « gagner son ciel » comme on dit est l’objectif de la vie sur terre et Saint Augustin donne un rôle important à la prière.

Au Moyen-Âge, la société, l’école et la pédagogie sont dominées par l’Église, sans vraiment rencontrer de concurrence. Les monastères, qui possèdent les bibliothèques, sont des centres culturels.

4. La pédagogie connaît un certain essor.

Charlemagne, couronné empereur en 800, est pragmatique : il veut une élite pour administrer son empire et favorise l’éducation de la noblesse : les mathématiques, la musique, l’astronomie ont une place à l’école, à côté de l’étude des textes sacrés et du latin.

En ville, les petits séminaires, dans les évêchés, forment les ecclésiastiques et les laïcs bourgeois.

Au 13° siècle naissent les Universités : ainsi, l’Université de la Sorbonne est créée en 1257 et deviendra un centre culturel de premier ordre.

Cependant, la culture reste rare. Pour une petite partie du peuple, les écoles paroissiales sont davantage un lieu d’évangélisation qu’un lieu d’instruction. Les métiers s’apprennent par l’expérience, sur le tas. Le compagnonnage forme une forme d’élite artisanale, en associant l’étude (souvent les mathématiques) et la pratique : cet apprentissage qui lie théorie et pratique est appelé à devenir la règle au fil du temps et jusqu’à nos jours.

5. Progressivement, l’école et la pédagogie s’émancipent un peu de la religion.

Les sciences font des progrès, notamment avec le zéro, les chiffres arabes et l’algèbre.

Une relative stabilité politique et une certaine prospérité économique permettent l’essor des villes : plus d’élèves vont à l’école, de milieux sociaux moins élitistes, comme les artisans et les commerçants.

Les enseignants s’organisent peu à peu comme groupe social et tentent de s’affranchir de la tutelle de l’Église.

Le contact des savants européens avec les penseurs arabes tel Averroès (1126-1198), permettent l’essor des sciences, appuyé sur la logique d’Aristote, notamment sous l’impulsion de Saint Thomas d’Aquin.

6. Durant le Moyen-Âge, l’Europe s’est repliée sur elle–même. Le savoir disponible, en latin, langue commune en Europe, est celui qui est en phase avec la doctrine chrétienne: le monde semble figé. Mais de l’Italie du Nord surgissent les changements : La modernité va émerger avec la Renaissance, puis s’imposer en Europe. L’enseignement ainsi que la pédagogie vont connaître des évolutions majeures.

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